Comment créer vous-même votre site PrestaShop ?

Si vous êtes habile et qu’Internet est votre terrain de jeu, chargez-vous, vous-même, de la création de votre site web. Le fait que le site PrestaShop et son application soient gratuits est un réel avantage. Voici les étapes à suivre :

• Téléchargez l’application (visible sur le site du groupe et sur App store) ;
• Indiquez le nom de votre boutique (choisissez un nom attrayant, humoristique et créatif pour l’illustrer) ;
• Choisissez l’hébergeur de votre boutique et son nom de domaine (les offres d’hébergement «strater» et «advanced» sont proposées par le site.) ;
• Créez votre catalogue de produits et personnalisez votre boutique (utilisez les couleurs et les thèmes) ;
• Configurez votre section «paiement en ligne» et cliquez sur «activer».

Dix minutes suffisent pour mettre en place une boutique en ligne opérationnelle. Par contre, si vous n’êtes pas très à l’aise avec les outils informatiques, optez pour la deuxième solution : contactez un spécialiste PrestaShop.

Pourquoi faire appel à un spécialiste PrestaShop ?

C’est le meilleur moyen d’obtenir un site Internet eCommerce de qualité. Plus connu sous le nom d’expert PrestaShop, ce spécialiste est un développeur Web qui s’est spécialisé dans le domaine de la création de sites. Il en existe désormais des centaines, mais il est plus recommandé de choisir le bon spécialiste PrestaShop. Ce dernier doit posséder quelques qualifications, dont une certification en :

• Gestion de projet ;
• Expertise SEO ;
• Développement web ;
• Maîtrise des langages informatiques ;
• SEO et en référencement naturel ;
• Design web.

Avec l’aide d’un spécialiste en Prestashop, vous pouvez vous assurer d’avoir un site unique, ergonomique, facile à naviguer pour les internautes, attractif, etc. Avoir un site e-commerce de qualité est important pour rester concurrentiel. Dans le cas contraire, il sera vite perdu de vue dans cette jungle qu’est Internet.

Sa souplesse

Pour un entrepreneur, la facilité de création de l’entreprise est essentielle. Cependant, il veut aussi que cette facilité se perçoive si jamais il doit passer par la liquidité de ses actifs, ou par la dissolution de ses activités. En choisissant le statut SAS, cela est possible. En effet, que ce soit dans les règles comptables, dans la gestion fiscale, dans l’injection du capital ou autres, la facilité de la démarche est plus pertinente que pour une SA ou une SARL. Et cela, parce que ce sont les décisions qui sont prises par les fondateurs de l’entreprise qui vont déterminer si les formalités administratives seront lourdes ou non. Par exemple, le fondateur peut choisir de gérer lui-même les activités et être l’unique actionnaire. Il peut aussi avoir jusqu’à 7 actionnaires comme avec une SA ou 100 associés comme une SARL. En SAS, l’organisation de l’entreprise est plus souple et dépend de la décision prise par le ou les fondateurs.

Sa simplicité

Si les SA sont obligées de diffuser des informations lourdes et parfois contraignantes, ce n’est pas le cas avec une SAS. La SAS n’est obligée de données des informations détaillées concernant les actionnaires ou les associés. Les rapports annuels à diffuser sont également moins conséquents si on compare avec une SA. La SAS n’est également pas dans l’obligation de faire des rapports de contrôle régulier même si le rôle du commissaire aux comptes est toujours important dans le mécanisme financier de l’entreprise. Il faut aussi noter que contrairement aux autres formes juridiques, en SAS, l’administrateur disposant d’un contrat de travail peut cumuler son mandat. Selon la loi NRE, il n’est pas limité à seulement 5 mandats successifs. Il peut aller au-delà en cumulant plus de 5 mandats. On notera aussi la simplicité dans le contrôle des conventions. Il n’est pas nécessaire de faire signer les résultats du contrôle de conventions règlementées par tous les associés pour qu’une décision soit effective. Les associés peuvent apposer leurs signatures à postériori si un actionnaire en possession de plus de 10 % des actions a déjà validé le rapport de contrôle au préalable. Autrement dit, la décision, en conventions règlementées, prise lors d’une assemblée générale annuelle est applicable dès lors qu’un associé majoritaire l’a approuvée.

L’animateur 2D/3D

L’animateur 2D/3D a pour mission de créer des personnages ou des formes et de les rendre vivants. Il a comme supports du story-board, la feuille d’exposition, le lay out, les graphismes ou encore la bande sonore. Ceci est dans le but de comprendre la demande des producteurs ou des réalisateurs. Si auparavant la production était délocalisée en Asie, elle est désormais relocalisée dans l’Hexagone. En effet, l’apparition de nouvelles technologies et de nouveaux modes de diffusion demande des compétences techniques plus importantes.

L’assistant de production

Si le secteur de la production de films a connu un ralentissement en 2010, il est en plein rebond depuis 2015. C’est la raison pour laquelle ce secteur est devenu dynamique et recrute de nouveaux assistants de production. Ces derniers jouent un rôle important du fait qu’ils sont le pivot entre l’économie et l’art et entre l’administration et l’opération. En plus de développer les documents de production et financiers, il assure aussi le rôle d’intermédiaire entre le producteur et l’équipe de tournage.

Le costumier

Bien que le secteur de l’audiovisuel soit dynamique, il n’est pas de même pour la durée de contrats
intermittents. Néanmoins, ce qui peut combler cela est le large éventail d’employeurs existants. Ceci s’observe pour les métiers des costumiers, des acteurs, des chanteurs, des comédiens ou encore des musiciens. Le costumier travaille la plupart du temps dans un atelier de confection avec des déplacements réguliers sur les plateaux de tournage, dans les coulisses des lieux de représentation ou dans les loges.

L’ingénieur de son

L’ingénieur de son est un métier qui a de nombreux recruteurs potentiels. Ces derniers sont souvent les sociétés de production dans l’audiovisuel ou dans le cinéma. Ce spécialiste en sonorisation tient un rôle important dans la prise de son, l’enregistrement et la retransmission. Il est souvent amené à collaborer avec le réalisateur et le producteur en proposant la meilleure solution technique afin d’avoir le meilleur son possible lors de l’enregistrement.

Le vidéaste freelance

Le freelancing est devenu un véritable phénomène ces dernières années, notamment dans le domaine de l’audiovisuel. En 2018, on comptait environ 900 000 actifs avec une croissance de 110 % seulement en une décennie. Cet artiste de l’audiovisuel réalise des films pour le compte des entreprises ou des particuliers. Il assure la production audiovisuelle de A à Z en choisissant les plans, la musique, la postproduction et les stratégies de distribution des films.

Pourquoi devenir formateur indépendant ?

Ce métier vous offre la possibilité de travailler à votre rythme. En effet, vous n’avez pas à respecter des horaires rigoureux, comme c’est le cas pour les enseignants salariés. Le formateur indépendant enseigne à des adultes, ce qui simplifie considérablement l’enseignement. Les enseignants séniors optent de plus en plus pour ce métier en raison de la grande liberté qu’il offre.

Les formations à suivre pour devenir formateur indépendant

Des compétences particulières sont nécessaires pour exercer le métier de formateur indépendant. À cet effet, vous devez disposer d’un bac+3 au minimum. Par ailleurs, les filières que vous pouvez intégrer sont très variées que ce soit les ressources humaines, la communication, le marketing, le droit, l’art, ou autres. Tout dépend de votre domaine d’expertise. Bien entendu, le formateur indépendant doit disposer de quelques années de pratique professionnelle pour assurer son métier. Outre cela, un formateur qualifié doit obligatoirement posséder un diplôme d’université de formateur d’adultes ou DUFA ou encore d’un certificat de qualification professionnelle.

Les qualités pour devenir formateur indépendant

Quel que soit son domaine d’expertise, le formateur d’indépendant doit disposer d’une expérience professionnelle notable. Sa curiosité et son sens de la pédagogie se révèlent également nécessaires pour communiquer ses connaissances avec ses élèves. Le dynamisme, le sens de l’écoute et de l’organisation sont des qualités en sus.

Les démarches à suivre

Outre les qualifications, le formateur indépendant doit également choisir son statut étant donné qu’il travaille indépendamment de toute entreprise. À cet effet, il peut par exemple opter pour les statuts d’autoentrepreneur, de SARL ou d’EURL. Ensuite, il procède à l’immatriculation de son activité auprès de la direction régionale du travail. Sans cela, il ne pourra pas exercer en tant que professionnel formel et reconnu.

Pourquoi créer une EURL ?

Créer une EURL signifie protéger son patrimoine. En effet, les apports sont limités au seul montant du capital social. Son associé unique est de ce fait, libre de décider de son apport. Bien entendu, il peut prévoir des garanties supplémentaires dans les statuts de son entreprise. Notez toutefois que la caution à un emprunt peut engager la propriété de votre patrimoine.

La situation du gérant

Le gérant est l’associé unique de l’EURL. Il perçoit une rémunération comme le prévoient les statuts. Il bénéficie aussi du droit à l’assurance chômage dans le cas où il n’occupe plus son poste. Sa couverture est en effet complète. En ce qui concerne son salaire, le gérant associé peut profiter d’une rémunération fixe ou évolutive prévue dans les statuts.

La fiscalité d’une EURL

Les bénéfices de l’EURL sont imposables par défaut. La fiscalité applicable est l’impôt sur les sociétés, à condition que l’associé unique soit une personne morale. Il est également possible d’opter pour l’impôt des bénéfices si l’associé est une personne physique, mais cette décision est irrévocable. En revanche, vous pouvez changer l’imposition de votre société avant le premier versement de votre IS au cours du cinquième exercice.

La création d’une EURL

En commençant par la rédaction de vos statuts, ouvrez un compte bancaire au nom de votre future entreprise afin d’y verser vos apports en numéraire. Définissez également la répartition de vos biens dans le cadre de l’évaluation des apports en nature, de façon à mieux protéger votre patrimoine. Remplissez ensuite le formulaire M0 et réunissez toutes les pièces composant votre dossier de création d’entreprises. Ceci étant, déposez ce dernier auprès du greffe compétent. Terminez par l’enregistrement de vos statuts au service des impôts.

Définissez l’établissement de vos rêves

La plupart d’excellentes universités se trouvent aux États-Unis. Ce sont notamment Harvard, Stanford, Yale, Columbia et Princeton. Cela dit, vous n’aurez pas beaucoup de difficulté à trouver celle qui pourra vous aider à réaliser vos objectifs personnels. Pour cela, il faut tenir compte du lieu et du type d’éducation souhaités. Certaines d’entre elles telles que Harvard et Princeton peuvent vous offrir l’expérience universitaire hollywoodienne de vos rêves. D’autres établissements comme Amherst College construisent une communauté beaucoup plus intime et très soudée.

Faites vos recherches et pensez à d’autres options

Tous les futurs étudiants rêvent tous d’intégrer un établissement. Vous devez donc commencer par faire vos recherches. Bien sûr, vous avez déjà quelques idées d’universités qui pourront correspondre à vos objectifs professionnels et personnels. Dans ce cas, il est temps d’étudier lesquelles d’entre elles pourront vous accueillir à bras ouverts. Il faut garder à l’esprit que vous n’entrerez pas nécessairement dans votre premier choix. Souvent, celui-ci n’offre pas les options désirées. Alors, le mieux est d’envisager d’autres options.

Quelles sont les conditions ?

Lorsque vous avez établi la liste d’universités susceptibles de vous recevoir et de vous intéresser, c’est le moment de contacter le bureau des admissions. Cela permet de connaître le processus ainsi que les conditions d’admissibilité. Chaque établissement d’enseignement supérieur aux USA règlemente leurs propres critères d’admission. Certains exigent de passer un examen spécifique ou un test, tandis que d’autres mettent en place un processus d’interviews beaucoup plus formels. Quoi qu’il en soit, pensez à fournir les documents clés, dont toutes les notes relatives à vos études secondaires, pour valider votre demande.

La phase préliminaire

Il s’agit d’une prise de contact gratuite et sans engagement avec un expert chargé d’accompagner l’intéressé durant tout le parcours. Cet échange permet de mettre la lumière sur les envies et les projets de la personne en question. Dans ce cas, l’intéressé peut exposer le plus d’informations et de confidences possibles sur sa carrière. Cela permet d’avancer les meilleurs moyens pour appuyer le salarié dans sa remise en question et sur le chemin qu’il doit adopter. C’est aussi l’occasion de vérifier la pertinence du projet et d’expliquer au sujet le fonctionnement d’un bilan de compétences.

La phase d’investigation

Cette étape consiste en un scan complet de la personnalité de l’individu non seulement sur le plan personnel, mais aussi sur le plan personnel. Il est question de poser autant de questions que nécessaire pour cerner les ressources et les valeurs de la personne. Pendant cette phase, l’intéressé passera plusieurs séances à exposer sa manière d’être au travail et ses ambitions professionnelles sur le court et le long terme. L’investigation approfondie permettra d’identifier le potentiel de la personne ainsi que les opportunités qui lui sont offertes.

La phase de restitution

Pour concrétiser le projet de changement de carrière, il convient de définir un plan d’action à l’issue des entretiens d’investigation. Le principe est de synthétiser tout ce qui a été dit pour pouvoir déterminer les actions à entreprendre comme de suivre des formations de remise à niveau, de changer complètement de domaine, de créer une entreprise ou d’aller dans une firme plus adéquate, etc. Tout ceci doit être restitué dans une sorte de feuille de route qui mène à une nouvelle carrière ou une nouvelle orientation professionnelle.

Les points à étudier

En vous préparant à la création de votre entreprise, vous devez bien évidemment penser aux éventuels risques. Toutes les possibilités doivent être analysées, de façon à mieux éviter les embûches et à faire prospérer votre structure. Tenez également compte des bouleversements que peut apporter cette initiative à votre vie privée. En principe, une nouvelle activité peut fatiguer aussi bien physiquement que moralement, et même financièrement. Tous ces paramètres de votre vie personnelle ne peuvent être mis de côté. Le nombre d’associés, les compétences professionnelles et le financement figurent également parmi les points essentiels à étudier avant de lancer votre projet.

Les associés

Vous avez la possibilité de monter à vous seul votre entreprise. D’ailleurs, un seul associé suffit amplement si vous prévoyez de commencer par une petite structure. Au fil du temps, vous avez la possibilité de trouver d’autres associés en modifiant vos statuts. D’autant plus qu’avec l’aide d’une autre personne, vous avez plus de chance de réussir le lancement de votre projet en ayant des apports en sus que ce soit au niveau financier, matériel ou intellectuel. Il est aussi possible de prendre un ou des associés dès la création de l’entreprise sans attendre qu’elle se développe ou qu’elle ait besoin d’un appui particulier.

Les qualités requises

La création d’une entreprise ne s’improvise pas. Assurez-vous de réussir votre projet en évaluant vos compétences avant de vous lancer. Comme vous aurez à gérer une structure, vous devez détenir au minimum une compétence en management d’entreprise. Certes, l’idée ne suffit pas toujours, mais vous pouvez aussi solliciter les compétences d’un expert pour vous accompagner. À cet effet, faites appel à un avocat ou à un expert-comptable pour vous aider dans l’aspect finance, administratif et juridique par exemple. Un minimum de connaissances techniques inhérentes à votre activité s’avère également nécessaire.

L’équipe et les outils de travail

Votre équipe sera votre force pour démarrer votre activité. De ce fait, sélectionnez les bonnes personnes. Procédez à des tests et à des recrutements rigoureux pour vous assurer de trouver les bons éléments dans ce cas. Grâce à vos compétences techniques, vous êtes en mesure de sélectionner les bons matériaux et les meilleurs outils de travail. Ces derniers vous aideront à lancer plus facilement vos activités.

Avoir un bon sens de la communication

La communication est bien évidemment au cœur des activités commerciales. Elle peut s’effectuer en face à face, par téléphone ou sur Internet via les outils d’emailing ou les réseaux sociaux. Pour devenir un bon communicateur, il est nécessaire de participer à des activités impliquant des prises de parole. Intervenir dans des conférences par exemple, va vous aider à mieux vous exprimer. S’habituer à écrire des articles peut également contribuer à développer son côté communicant. À force de communiquer, vous saurez convaincre, attirer des prospects et les amener à passer commande.

La sympathie

Ce critère est indispensable pour gagner la confiance du prospect. Le client se met facilement à l’aise si le vendeur est attentif à ses besoins. Le commercial pourra ensuite fournir exactement le produit et service de qualité qui répondent aux besoins de l’acheteur. D’emblée, il est important de créer une bonne entente avec le client pour que celui-ci choisisse à la fois le commercial et le produit. L’objectif étant de faire revenir le prospect en plus de le pousser à l’achat. Cela aura également un impact positif sur le chiffre d’affaires de l’entreprise.

La confiance

Pour une réussite professionnelle en tant que commercial, la confiance en soi doit être optimale. Il est également impératif d’avoir une conviction absolue sur la qualité des produits et services qu’on fournit et qu’on propose à ses prospects et à ses clients. Cela permet également d’être plus efficace sur les arguments qui vont rassurer les futurs prospects. La confiance est également la base de la fidélisation du client.

L’écoute active

Un commercial qui a le sens de l’écoute réussit généralement à vendre plus que les autres. Un vendeur à l’écoute de son client perçoit le ressenti de ce dernier et agit en fonction. L’écoute amène également à l’analyse du besoin. Cette analyse peut ainsi apporter beaucoup d’alternatives qui vont capter l’attention du client afin qu’il achète plus que prévu.

Bien se préparer

Vous vous êtes sans doute préparé à affronter l’épreuve écrite durant toute l’année scolaire. Vous ne devrez donc pas être dépaysé par son déroulement, car c’est presque la même épreuve qu’en classe. Il y a seulement quelques petites couches de pression et de procédure. Assurez-vous d’arriver au moins 15 minutes avant même si la salle reste encore fermée. Cela permet de bien vous détendre, de vous concentrer et de dédramatiser. Ceci est important avant de vous décider d’entre dans la salle.

Arrivée dans la salle !

Lorsque vous êtes dans la salle, essayez d’abord de trouver votre place. Puis, il faut ouvrir la besace et sortir tout le matériel dont vous avez besoin pour l’épreuve. Vérifiez s’il y a une ou des manques. Maintenant, il est temps de déposer tous les sacs dans un endroit inaccessible, souvent à l’avant de la salle. Jetez à nouveau un œil sur tout votre matériel. Les surveillants vont commencer par distribuer le brouillon. Ils vont ensuite vous rabâcher toutes les consignes. Ecoutez-les attentivement une bonne fois pour gagner du temps. Puis, il est temps de remplir les feuilles d’examen. Lorsque les enveloppes secrètes arrivent, ils les ouvrent et distribuent les sujets.

Une fois les sujets en main

Tout d’abord, pensez à lire votre sujet quoiqu’il arrive. C’est le conseil de tout le monde. Vous pourrez ainsi déterminer lesquels des exercices sont faciles et difficiles en fonction de votre capacité. Vos révisions et connaissances vous aideront à répondre à toutes les questions. Quoi qu’il en soit, il faut garder en tête que le soin est un facteur très important tout comme les justifications ainsi que l’organisation de vos connaissances. Un conseil : ne vous précipitez pas ! Assurez-vous simplement de faire ce que vous savez faire. Tâchez également de vous relire avant de rendre votre copie. A ce titre, pensez à souligner les résultats et améliorer si nécessaire.