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Les démarches à suivre pour devenir formateur indépendant


Il est possible d’enseigner sans être rattaché à une école de formation. Si vous souhaitez travailler en tant que formateur indépendant, vous aurez à suivre certaines démarches, mais aussi suivre des formations adéquates. Comment cela peut-il se faire, le point dans cet article.

Pourquoi devenir formateur indépendant ?

Ce métier vous offre la possibilité de travailler à votre rythme. En effet, vous n’avez pas à respecter des horaires rigoureux, comme c’est le cas pour les enseignants salariés. Le formateur indépendant enseigne à des adultes, ce qui simplifie considérablement l’enseignement. Les enseignants séniors optent de plus en plus pour ce métier en raison de la grande liberté qu’il offre.

Les formations à suivre pour devenir formateur indépendant

Des compétences particulières sont nécessaires pour exercer le métier de formateur indépendant. À cet effet, vous devez disposer d’un bac+3 au minimum. Par ailleurs, les filières que vous pouvez intégrer sont très variées que ce soit les ressources humaines, la communication, le marketing, le droit, l’art, ou autres. Tout dépend de votre domaine d’expertise. Bien entendu, le formateur indépendant doit disposer de quelques années de pratique professionnelle pour assurer son métier. Outre cela, un formateur qualifié doit obligatoirement posséder un diplôme d’université de formateur d’adultes ou DUFA ou encore d’un certificat de qualification professionnelle.

Les qualités pour devenir formateur indépendant

Quel que soit son domaine d’expertise, le formateur d’indépendant doit disposer d’une expérience professionnelle notable. Sa curiosité et son sens de la pédagogie se révèlent également nécessaires pour communiquer ses connaissances avec ses élèves. Le dynamisme, le sens de l’écoute et de l’organisation sont des qualités en sus.

Les démarches à suivre

Outre les qualifications, le formateur indépendant doit également choisir son statut étant donné qu’il travaille indépendamment de toute entreprise. À cet effet, il peut par exemple opter pour les statuts d’autoentrepreneur, de SARL ou d’EURL. Ensuite, il procède à l’immatriculation de son activité auprès de la direction régionale du travail. Sans cela, il ne pourra pas exercer en tant que professionnel formel et reconnu.

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